Good time for predators
Once more, we were faced with the inevitability of events. A few hundred meters from the camp, alerted by a group of vultures, we discovered the carcass of a young elephant, about three years old, it was one that we had rescued from the sludge few days previously. He had spent the last few days feeding around the camp as if had found a safe haven. Hyenas had killed him during the night. A few miles away, near the roadside, some thirty lions jostled around the carcass of an adult elephant. The difference is, where lions kill their prey more often directly, hyenas simply devour them without worries whether they are still alive or not. At risk of being called anthropomorphic, we do find nature very cruel during this period. As if nature can be called good or bad! Nature is good when it is good, and it is bad when it is bad, like what the poet Prévert said! And if we think that man is one of his creations, gives serious doubts on the theory of Rousseau, who argues that man is naturally good. Still immersed in nature, we can only agree with Schopenhauer who said: “A single glance at nature, refreshes us, brightens and comforts all one’s tormented passions, needs and worries.” It really is! But from time to time, we would like the nature, as it is not.
to be continued…
Bon temps pour les prédateurs
Encore une fois nous avons été mis en face de la fatalité des événements. A quelques centaines de mètres du camp, alertés par un regroupement de vautours, nous découvrîmes la carcasse d’un jeune éléphant d’environ trois ans, que nous avions dégagé des boues quelques jours auparavant et qui depuis rodait autour du camps comme s’il y avait trouvé refuge. Il s’était fait tuer par les hyènes durant la nuit. A quelques kilomètres de là, presque en bordure de route, une trentaine de lions se bousculaient autour de la carcasse d’un éléphant adulte. La différence est que si les lions tuent le plus souvent directement leur proie, les hyènes se contentent de les dévorer sans soucis de savoir qu’elles vivent encore ou non. Sans faire de projection on trouvera la nature bien cruelle en cette période. Comme si la nature était mauvaise ou bonne. La nature est bonne quand elle est bonne, elle est mauvaise quand elle est mauvaise, dirait Prévert! Et si l’on conçoit, que l’homme en est un de ses avatars on ne pourra émettre des doutes fondés que doute du peu de raison avec laquelle qui a fait dire à Rousseau que l’homme est naturellement bon. .Pourtant plongé dans la nature, on ne peut qu’adhérer à ce que dit Schopenhauer: «Un seul et libre regard jeté sur la nature, suffit pour nous rafraîchir, égayer et réconforter d’un seul coup celui que tourmentent les passions, les besoins et les soucis. » C’est vraiment cela! Mais de temps en temps on la souhaiterait comme elle n’est pas.
à suivre…